RETRAITE INTERNATIONALE BICENTENAIRE. « L’expérience de la fondation » sera vécue cet été par 30 Frères et laïcs, 200 ans plus tard

                                                                   Chapelle du Père Éternel à Auray

15 laïcs et 16 Frères venus des 5 continents vont vivre la Retraite internationale proposée cet été du 14 au 21 juillet à Ploërmel, Auray et sur les lieux mennaisiens.

« Avant tout qu’il y a un appel personnel fort de l’Esprit, explique F. Josu OLABARRIETA, animateur de la Retraite. Le Seigneur nous a convoqués pour vivre, pour re-vivre, l’expérience passée il y a deux siècles en 1820, et qui a donné naissance à une nouvelle vie, à une nouvelle création.

La retraite que nous allons vivre ensemble veut être un mémorial (souvenir et actualisation) de ce qui s’est passé dans la Chapelle du Père Éternel à Auray.

C’est la Nouvelle Page de la Retraite des origines qui a été le point de départ de la page initiale de la Congrégation mennaisienne.

Célébration à Auray lors de l’assemblée internationale d’août 2015.

– Nous allons vivre dans divers lieux mennaisiens : il s’agit de nous laisser interpeler par les lieux, de nous laisser convoquer par des objets, des lieux qui ont été habités par l’ ”esprit mennaisien” …

Une retraite de contemplation

– “Ce n’est pas tant de savoir, mais surtout le fait d’aimer intérieurement”, disait Ignace de Loyola. Nous ferons une Retraite de contemplation, toute en silence, un silence rempli de la Présence, en demandant la grâce de sentir chaque texte, chaque lieu et nous laisser imprégner du même parfum qui subsiste 200 ans après.

-Dans les mémoires des Frères qui ont écrit sur cette retraite de fondation, on voit bien qu’ils se doutaient que cela allait être « une grande Retraite », non pas par sa longueur mais par sa transcendance. Ils avaient le désir en eux de vivre cette rencontre parce qu’ils la considéraient d’une importance décisive.

Comme les jeunes hommes des deux groupes qui se sont retrouvés à Auray, nous ne nous connaissons pas mais nous ressentons qu’il y a des liens mystérieux qui nous unissent.”