CELEBRATION D’OUVERTURE DU CHAPITRE. Rencontre, signature du traité et Message du F. Yannick. La force des symboles

Une ouverture par des rencontres puis… la prière de la nuit.

La célébration d’ouverture du Chapitre en cette fin d’après-midi ce 1er mars a été placée sous le signe des rencontres personnelles, deux par deux, puis des symboles.

Chaque capitulant a été invité par le F. Guillermo, en charge de cette animation, à rencontrer trois autres personnes –Frères ou laïcs- et à prendre un temps de découverte mutuelle : pays, racines, famille, activité…

Chacun a été invité ensuite à choisir un mot qui décrit l’attitude nécessaire à avoir pour écrire une nouvelle page. Ces mots étaient connectés sur les portables pour constituer un « mur de mots ».

Vous voulez connaître ces mots choisis ? Ils se nomment : courage, audace, passion, ouverture, écoute, Providence, attente, conversion…

 

 

 

 

 

 

 

Une longue procession a pris corps depuis le grand hall de la Maison d’accueil du Chapitre vers la chapelle. La croix était portée par le F. Yannick et Frères et laïcs portaient des cierges, la Règle de vie, le  N° Spécial de La Mennais Magazine sur la Famille Mennaisienne et le poster du  Traité d’Union entre les deux fondateurs.

Chaque participant a signé le Traité d’Union et les représentants des pays sont venus déposer le drapeau correspondant tandis que l’Hymne du Bicentenaire en version anglaise était diffusé.

Dans son message de la célébration d’ouverture, F. Yannick HOUSSAY, Supérieur général a rappelé combien nous « faisons l’expérience d’une famille. »

« En chacun existe le désir que grandisse la paix et l’amour. Nous en avons grand besoin », a-t-il poursuivi. « Nous voulons contribuer à cette paix. Et nous sommes appelés à être les acteurs de cette histoire qui se poursuit aujourd’hui. Des acteurs passionnés et désintéressés. »

« L’acteur principal de ce Chapitre c’est l’Esprit saint. Nous mettrons en lui notre confiance et nous confions ce Chapitre à Marie à la suite de nos deux fondateurs » a commenté le F. Yannick.

« Marie peut nous aider à discerner, avec un cœur d’enfant. Laissons-nous toucher par  ces mots : Providence de mon Dieu, nous nous abandonnons à toi sans réserve. »